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MTV profitera autant que Michael Jackson de l'impact planétaire de ces vidéos. La cha?ne musicale exportera bient?t son robinet à [url=http://www.mquin.com/saclancel.php]lancel[/url] clips dans tous les pays développés, propageant une esthétique qui pénétrera, parfois pour le meilleur et souvent pour le pire, de multiples formes d'expression artistique.
Virevoltant, glissant, inventant sa gestuelle en Fred Astaire de la génération funk, pas encore défiguré par la chirurgie esthétique et par les scandales, le créateur du moonwalk s'impose en danseur et en chanteur d'exception. Il crée un nouveau standard en chamboulant les priorités : le clip devient un argument de vente presque plus important que la chanson, ses concerts reproduisent les scénographies de ses et non plus l'inverse. Quelques mois plus tard, [url=http://www.ilyav.com/isabelmarant.php]isabel marant pas cher[/url] Madonna deviendra célèbre en ayant retenu la le?on.
La diffusion des clips de Michael Jackson n'allait pas de soi pour autant. Revendiquant d'abord un format "rock", MTV ne diffusait alors qu'au compte-gouttes les oeuvres d'artistes noirs américains. Au point d'être souvent accusée de racisme. On raconte que, pour Billie Jean , CBS aurait menacé de les clips de tous ses autres artistes. MTV l'a toujours démenti, expliquant que la qualité de la vidéo de Michael Jackson avait vite convaincu ses programmateurs.
sans que les images de leurs clips vidéo respectifs viennent notre mémoire. Le [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] sol s'éclairant sous ses [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] pas dans Billie Jean , les morts-vivants et le loup-garou de Thriller , la danse des gangs de Beat It ... Le succès, toujours inégalé (près de [url=http://www.mnfruit.com/abercrombie.php]abercrombie[/url] 50 millions d'exemplaires vendus [url=http://www.achbanker.com/homes.php]hollister france[/url] dans le monde), de ce disque devait autant à la foudroyante inspiration du tandem Michael [url=http://jiniutang.cn.user.d-jet.com/bbs/home.php?mod=space&uid=2019][/url] Jackson/Quincy Jones qu'à des [url=http://park19.wakwak.com/~takeda-kazu/cgi-bin/bbs/aska.cgi?res=24185]hollister PSA retrouve la cot[/url] chansons également con?ues pour éblouir les téléspectateurs de la jeune cha?ne musicale américaine MTV.
Lancé à l'aube des années 1980, le clip vidéo va en profondeur la fa?on dont la musique sera consommée et promue. En 1981, la naissance aux Etats-Unis de la cha?ne musicale MTV (pour Music Television) est un succès immédiat qui va , avec [url=http://www.mquin.com/saclancel.php]lancel pas cher[/url] le développement du format CD, au redressement d'une phonographique en crise à la fin des années 1970.
Si les images de Beat It et les go?ts vestimentaires de ces bandes pré-hip-hop ont pris un coup de vieux (comme la plupart des clips, à peine dix ans après leur tournage), on comprend à quel point Michael Jackson était é pour la première star de l'ère MTV.
Mis en scène par Bob Giraldi, réalisateur vedette de spots publicitaires, et un chorégraphe de Broadway, Michael Peters, que le chanteur avait remarqué pour son travail avec Donna Summer, ce ballet inspiré de West Side Story bénéficiait de moyens encore inédits. Vêtu d'un blouson de cuir rouge [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] et d'un pantalon suffisamment court pour appara?tre ses chaussettes blanches, Michael Jackson y tient le r?le d'un pacificateur intervenant au coeur d'un affrontement entre deux bandes rivales (cinquante véritables membres de gangs de Los Angeles auraient été recrutés pour l'occasion). Beat It ("laisse tomber"), martèle-t-il, dénon?ant les dérapages du machisme.
La clé de ce royaume, ce jeune Noir originaire de Gary (Indiana) l'a trouvée en élaborant [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]ugg pas cher[/url] avec son producteur, Quincy Jones, une synthèse musicale permettant de les publics au-delà des genres, des classes sociales et des races. Incarnation ultime de ce [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] génie du crossover , le single Beat It atteindra simultanément les sommets du classement des [url=http://cgi.www5a.biglobe.ne.jp/~y-kinsan/OFF-BBS/aska.cgi]moncler outlet The Top Qualit[/url] meilleures ventes de disques rock et celui des meilleures ventes de R & B, principal courant de la musique afro-américaine. Il aurait aussi pu prétendre celui du heavy-metal (le sera plus tard repris par le groupe Metallica), tant la présence de la guitare électrique guide l'irrésistible groove d'un morceau autant gorgé de funk que de riffs. Un solo du "guitar-hero" de l'époque, Eddie Van Halen, venant cette fusion entre rythme noir et tension blanche.
Réalisé par un jeune vidéaste britannique, Steve Barron, le clip onirique de Billie Jean multiplia les ventes du single dès qu'il fut adopté par la télévision. Diffusé quelques semaines plus tard, celui de Beat It devait l'événement.
Pour le lancement quasi simultané des simples Billie Jean et Beat It , la maison de disques CBS a bien s?r parié sur la promotion radio, mais elle a aussi pris en compte le phénomène qu'un tube prémonitoire des éphémères Buggles avait résumé, en 1979, par la formule "Video killed the radio star" ("la vidéo a tué la radio-star").
En 1983, Michael n'a que 25 ans, mais il est déjà une vedette depuis l'enfance. Au sein du groupe familial, les Jackson 5, il a grandi devant les caméras, apprenant à ma?triser son image autant que son chant. En solo, il a connu en 1979 un triomphe avec l'album Off the Wall . Mais celui de Thriller prendra des proportions mythiques qui le consacreront "King of pop", "roi de la pop", comme Elvis Presley fut couronné "King" du rock'n'roll.
Une histoire qui commence avant la musique, une structure narrative et un montage fignolés, des bruitages qui font la chanson pour une bande originale donnent l'impression d' à un petit film plus qu'à un clip. Une logique que Michael Jackson poussera [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] à l'extrême pour son single suivant, Thriller , mis en scène par le cinéaste John Landis, pour un remake de quatorze minutes de [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] film d'épouvante.