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Pourtant, la n'annule pas l'urgence de la réforme de la dépendance, même si l'on sait que [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] son co?t sera élevé. Avec principalement les dépenses [url=http://kizuna-shuzenji.com/form/cgi/postmail/postmail.cgi]hollister En Chine, la popula[/url] de soins dispensées par l'assurance-maladie et l'allocation personnalisée d'autonomie, financée par les conseils généraux, la France possède déjà "un socle puissant de couverture de la dépendance". Cette dépense publique de 22 milliards d'euros va du fait de la hausse prévisible des besoins. D'ici à 2040, l'effort supplémentaire représentera de 0,28 [url=http://www.yc-shop.jp/blog/miyahara-blog.cgi]barbour uk Linnommable, par T[/url] à 0,69 point de PIB par an. Comment le ?
Cette réforme de la dépendance, qui avait été présentée comme une urgence lors de la présidentielle [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] de 2007 - M. Sarkozy envisageait alors la création d'une cinquième branche de la Sécurité sociale pour compléter sa prise en charge -, a été ajournée. Le 25 ao?t, Fran?ois Fillon avait considéré que "traiter ce [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] dossier dans le contexte économique et financier que nous connaissons aujourd'hui, dans l'urgence, ne serait pas responsable". Le premier ministre a reporté au "début 2012" ce qui devait être [url=http://www.gotprintsigns.com/hollisterpascher/‎]hollister paris[/url] un "chantier prioritaire" de 2011. Autant que la réforme, malgré les dénégations de , ministre des solidarités et de la cohésion sociale, est reportée aux calendes, après l'élection présidentielle.
La piste qui émergeait dans préparatoires à la réforme consistait à la [url=http://rover.ebay.com/rover/1/711-53200-19255-0/1?campid=5336182395&customid=pubster&toolid=10013&mpre=http%3A//cgi.ebay.com/ebaymotors/4x-24CM-PVC-LED-CAR-TRUCK-FLEXIBLE-NEON-LIGHT-STRIP-RED-/320609712722]nike air jordan pas cher La l[/url] CSG des retraités (6,6 %) sur celle des actifs (7,5 %), le gain annuel étant évalué à 2 [url=http://www.gotprintsigns.com/monclerpascher/]moncler pas cher[/url] milliards d'euros. Autant que la réforme risquait de les personnes ?gées, celles qui avaient assuré l'élection de M. Sarkozy [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] en [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler sito ufficiale[/url] 2007. Quand il donnait la priorité à la réforme de la dépendance en 2011, M. Sarkozy assurait qu'"attendre serait une faute morale impardonnable". Il avait alors [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] revêtu les habits du président protecteur. A huit mois de la présidentielle, M. Sarkozy semble d'abord soucieux de protéger son électorat.
Mme Bachelot n'a pas été inactive. Au premier semestre, elle a organisé vingt-six débats dans les départements et quatre en région. La ministre a consulté les partenaires sociaux, les associations et les partis politiques, en essayant de dégager une solution consensuelle. En période préélectorale, cela relevait de la gageure. En 2007, M. Sarkozy avait estimé que la prise en charge de la dépendance devait aussi par l'assurance privée. La dépendance, avait-il affirmé, est "le plus souvent un risque assurable qui peut être couvert par des produits financiers innovants". Mme Bachelot avait toutefois rejeté l'idée d'une assurance privée obligatoire.
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